8.09.2023

Il n'y a guère de trois en deux

 

Les sexes n'étaient pas deux comme ils le sont maintenant, mais à l'origine au nombre de trois ; il y avait l'homme, la femme, et l'union des deux, ayant un nom correspondant à cette double nature, qui avait autrefois une existence réelle, mais qui est maintenant perdue, et le mot "Androgyne" n'est conservé que comme un terme de reproche. En second lieu, l'homme primitif était rond, son dos et ses flancs formant un cercle ; et il avait quatre mains et quatre pieds, une tête à deux faces, regardant dans des directions opposées, posées sur un cou rond et exactement pareilles ; aussi quatre oreilles, deux membres privés, et le reste pour correspondre. Il pouvait marcher droit comme les hommes le font maintenant, en avant ou en arrière à sa guise, et il pouvait aussi rouler et rouler à grande allure, tournant sur ses quatre mains et ses quatre pieds, huit en tout, comme des gobelets qui tournent et repassent avec leurs jambes en l'air; c'était quand il voulait courir vite. Or les sexes étaient trois, et tels que je les ai décrits ; parce que le soleil, la lune et la terre sont trois ; et l'homme était à l'origine l'enfant du soleil, la femme de la terre et l'homme-femme de la lune, qui est composée du soleil et de la terre, et ils étaient tous ronds et tournaient en rond comme leurs parents. Terribles étaient leur puissance et leur force, et les pensées de leur cœur étaient grandes, et ils ont attaqué les dieux ; d'eux est racontée l'histoire d'Otys et d'Ephialtès qui, comme le dit Homère, osèrent escalader le ciel, et auraient mis la main sur les dieux. Le doute régnait dans les conseils célestes. S'ils les tuaient et anéantissaient la race par la foudre, comme ils avaient fait les géants, alors il y aurait une fin des sacrifices et du culte que les hommes leur offraient ; mais, d'un autre côté, les dieux ne pouvaient souffrir que leur insolence fût effrénée. Enfin, après bien des réflexions, Zeus découvrit une voie. Il a dit : « Il me semble que j'ai un plan qui humiliera leur fierté et améliorera leurs manières ; les hommes continueront d'exister, mais je les couperai en deux et alors ils seront diminués en force et augmentés en nombre ; cela aura l'avantage de nous les rendre plus profitables. Ils marcheront debout sur deux jambes, et s'ils continuent d'être insolents et ne se taisent pas, je les fendrai de nouveau et ils sauteront sur une seule jambe. Il parlait et coupait les hommes en deux, comme une pomme de sorbier qu'on coupe en deux pour la mariner, ou comme on divise un œuf avec un cheveu ; et en les coupant l'une après l'autre, il ordonna à Apollon de tourner le visage et la moitié du cou pour que l'homme pût contempler la tranche de lui-même : il apprendrait ainsi une leçon d'humilité. Apollo a également été invité à soigner leurs blessures et à composer leurs formes. Alors il tourna le visage et tira la peau des côtés sur tout ce qui dans notre langue s'appelle le ventre, comme les bourses qui rentrent, et il fit une bouche au centre, qu'il attacha par un nœud ( le même qui s'appelle le nombril); il a également moulé la poitrine et a enlevé la plupart des rides, un peu comme un cordonnier pourrait lisser du cuir sur une forme; il en laissa cependant quelques-uns dans la région du ventre et du nombril, en souvenir de l'état primitif. Après la division, les deux parties de l'homme, chacune désirant son autre moitié, se sont réunies, et se jetant les bras l'une autour de l'autre, s'enlaçant dans des étreintes mutuelles, aspirant à ne faire qu'un, elles étaient sur le point de mourir de faim et d'oubli de soi. , parce qu'ils n'aimaient rien faire à part; et quand l'une des moitiés mourait et que l'autre survivait, le survivant cherchait un autre compagnon, homme ou femme comme nous les appelons, — étant les sections d'hommes ou de femmes entiers, — et s'y accrochait. 
 
 

Épiphanie n°4 (2009) 

 

Une partie de l'éloge d'Aristophane pour l'amour dans le Banquet de Platon. 


 


8.16.2022

Quand l'âne solaire se croyait bon

 LES
NOUVELLES
RÉVÉLATIONS
DE
L'ÊTRE


*****


Je dis ce que j'ai vu et ce que je crois ; et qui dira que je n'ai pas vu ce que j'ai vu, je lui déchire maintenant la tête.
Car je suis une irrémissible Brute, et il en sera ainsi jusqu'à ce que le Temps ne soit plus le Temps.
Ni le Ciel ni l'Enfer, s'ils existent, ne peuvent rien contre cette brutalité qu'ils m'ont imposée, peut-être pour que je les serve… Qui sait ?
En tout cas, pour m'en déchirer.

Ce qui est, je le vois avec certitude. Ce qui n'est pas, je le ferai, si je le dois.

Voilà longtemps que j'ai senti le Vide, mais que j'ai refusé de me jeter dans le Vide.
J'ai été lâche comme tout ce que je vois.
Quand j'ai cru que je refusais ce monde, je sais maintenant que je refusais le Vide.
Car je sais que ce monde n'est pas et je sais comment il n'est pas.
Ce dont j'ai souffert jusqu'ici, c'est d'avoir refusé le Vide.
Le Vide qui était déjà en moi.

Je sais qu'on a voulu m'éclairer par le Vide et que j'ai refusé de me laisser éclairer. Si l'on a fait de moi un bûcher, c'était pour me guérir d'être au monde.
Et le monde m'a tout enlevé.
J'ai lutté pour essayer d'exister, pour essayer de consentir aux formes (à toutes les formes) dont la délirante illusion d'être au monde a revêtu la réalité.

Je ne veux plus être un Illusionné.
Mort au monde ; à ce qui fait pour tous les autres le monde, tombé enfin, tombé, monté dans ce vide que je refusais, j'ai un corps qui subit le monde, et dégorge la réalité.
J'ai assez de ce mouvement de lune qui me fait appeler ce que je refuse et refuser ce que j'ai appelé.
Il faut finir. Il faut enfin trancher avec ce monde qu'un Être en moi, cet Être que je ne peux plus appeler, puisque s'il vient je tombe dans le Vide, cet Être a toujours refusé.
C'est fait. Je suis vraiment tombé dans le Vide depuis que tout, - de ce qui fait ce monde, - vient d'achever de me désepérer.
Car on ne sait que l'on n'est plus au monde que quand on voit qu'il vous a bien quitté.
Morts, les autres ne sont pas séparés : ils tournent encore autour de leurs cadavres.
Et je sais comment les morts tournent autour de leurs cadavres depuis exactement trente-trois Siècles que mon Double n'a cessé de tourner.
Or, n'étant plus je vois ce qui est.
Je me suis vraiment identifié avec cet Être, cet Être qui a cessé d'exister.
Et cet Être m'a tout révélé.
Je le savais, mais je ne pouvais pas le dire, et si je peux commencer à le dire, c'est que j'ai quitté la réalité.

C'est un vrai Désespéré qui vous parle et qui ne connaît le bonheur d'être au monde que maintenant qu'il a quitté ce monde, et qu'il en est absolument séparé.
Morts, les autres ne sont pas séparés. Ils tournent encore autour de leurs cadavres.
Je ne suis pas mort, mais je suis séparé.


*****


Je vais donc dire ce que j'ai vu et ce qui est.
Et pour le dire, comme les Astrologues ne savent plus lire, je me baserai sur les Tarots.


*****


Tropisme du cancer (2011) 

HOROSCOPE
DU SAMEDI 19 JUIN 1937


CIEL

TERNAIRE

Dans le Ciel les Tarots ont dit :
" LE MÂLE ABSOLU DE LA NATURE A COMMENCÉ À REMUER DANS LE CIEL. IL EST RESSUSCITÉ POUR LA JUSTICE DU MÂLE. ET C'EST LA JUSTICE DU CIEL QUI A RESSUSCITÉ CE JOUR-LÀ LE MÂLE. "

Qu'est-ce que cela veut dire ?

Cela veut dire que l'Homme va retrouver sa stature. Et qu'il la retrouvera contre les Hommes. Cela veut dire aussi qu'un Homme va réimposer le Surnaturel. Puisque le Surnaturel est la raison d'être de l'homme. Et que l'homme a trahi le Surnaturel.
Cela veut dire que, dans un monde livré à la sexualité de la femme, l'esprit de l'homme va reprendre ses droits. Cela veut dire enfin que tout ce qui fait l'homme nous a quittés parce que nous avons trahi l'homme. Et l'Homme en nous s'est libéré de l'homme. Il est monté pour nous juger d'être hommes. Et c'est ainsi qu'on ne peut plus créer. Et pour le croire nous n'avons qu'à nous regarder.

QUATERNAIRE

LE CIEL A APPELÉ LE FÉMININ OUBLIÉ DE LA FEMME. IL S'EST SERVI D'UNE FORCE QUE LA FEMME AVAIT NÉGLIGÉE.
IL A FORCÉ LA NATURE À RÊVER DES OPÉRATIONS QUE LA FEMME NE PEUT PLUS RÊVER.
IL A FORCÉ LA NATURE À SE RETOURNER à la place DE LA FEMME POUR RÉALISER UNE OPÉRATION QUE LE MÂLE AVAIT PRÉPARÉE.

Qu'est-ce que cela veut dire ?

Cela veut dire que la Nature va se révolter.
Terre. Eau. Feu. Ciel.
C'est par les quatre Eléments réunis ensemble que la transmutation sera opérée.


TERRE

Le reclassement de toutes les valeurs sera fondamental, absolu, terrible.
Mais comment s'opérera ce terrible reclassement des valeurs ?
Par les 4 Eléments, avec le Feu au centre, c'est entendu ! Mais où, quand, comment, par quoi, à travers quoi ?

TERNAIRE

" PAR LA FEMME. A TRAVERS LA FEMME. PAR LA FEMME INDIRECTEMENT ÉCLAIRÉE ET QUI RÉALISE SA DUPLICITÉ. CAR C'EST PAR LA FEMME QUE LE ROI DIVISEUR A ÉTÉ SÉPARÉ EN LUI-MÊME ET QU'IL A SU RETROUVER EN LUI-MÊME LE MOYEN DE TOUT SÉPARER DE CE QUI DOIT ÊTRE SÉPARÉ. "

Qu'est-ce que cela veut dire ?

Cela veut dire :

QUATERNAIRE

Une force naturelle que la femme avait altérée va se libérer contre la femme et par la femme. Cette force est une force de mort.
ELLE A LA RAPACITÉ TÉNÉBREUSE DU SEXE. C'EST PAR LA FEMME QU'ELLE EST PROVOQUÉE MAIS C'EST PAR L'HOMME QU'ELLE EST DIRIGÉE. LE FÉMININ MUTILÉ DE L'HOMME, LA TENDRESSE ENCHAÎNÉE DES HOMMES QUE LA FEMME AVAIT PIÉTINÉE ONT RESSUCITÉ CE JOUR-LÀ UNE VIERGE. MAIS C'ÉTAIT UNE VIERGE SANS CORPS, NI SEXE, ET DONT L'ESPRIT SEUL PEUT PROFITER.
Qu'est-ce que cela veut dire ?
Cela veut dire que la sexualité va être remise à sa place. A celle qu'elle n'aurait jamais dû dépasser. Que les sexes seront pour quelque temps séparés. Que l'amour humain sera rendu impossible. Et que ce travail est déjà commencé.
Cela veut dire qu'un Initiation va commencer dans les ténèbres.
Cela veut dire qu'à la base du Destin actuel il y a une trahison de la femme. Non de la femme contre un homme seul, mais de la femme contre tous les hommes.
Et que la Femme va revenir à l'Homme.
Qu'est-ce que cela veut dire ?
Cela veut dire que le monde sera égalisé par la Droite. Et que la gauche va retomber sous la Suprématie de la Droite. Non pas ici, ou ailleurs, mais PARTOUT.
Parce qu'un Cycle du Monde est fini qui était sous la suprématie de la Femme : Gauche, République et Démocratie.

Cela veut dire qu'au Temps du Cancer la Mort va faucher tout ce qui est du Cancer : Gauche, République et Démocratie.
Parce que le Cancer fait et que la Gauche fait 69.

Qu'est-ce que cela veut dire encore ?

Cela veut dire qu'un Initiation supérieure sera le fruit de cette Mort et que tout ce qui est de la sexualité sera brûlé dans cette Initiation supérieure, son feu changé en Initiation.
En vue de remettre partout la Suprématie absolue de l'Homme.

Et que l'homme en Esprit sur la femme va de nouveau diriger la Vie.

Cela veut dire que les Masses vont retomber partout sous le joug, et qu'il est juste qu'elles soient sous le joug.
Parce que les Masses par nature sont Femmes et que c'est l'Homme qui régente la Femme, et non le contraire.
Et ce Mâle dominateur, les poètes l'ont jusqu'ici appelé : l'Esprit.

Que veut dire maintenant cette insolente vaticination dont personne n'entendra le langage, sauf les illuminés et les fous ?
Cela veut dire que nous sommes menacés d'esclavage, parce que la Nature va retomber sur nous.

Ce qui a fait que nous sommes des hommes et qui a séparé la femme de l'homme est en train de se retirer des hommes,
de nous regarder et de nous juger.
Tout cela qui nous permet d'exister et qui voit comment nous avons mal subsisté et mal gardé le principe de l'homme en nous ;
nous quitte, mais pour tomber sur nous.
Et la Vierge qu'il va fabriquer est la Révolte Naturelle des choses dont nous avons mal disposé.
Et la Révolution aussi se souvient qu'elle est femme.
Et avant de remettre des Rois partout et qui seront alors les esclaves de tous et sauront d'autant plus durement tenir le monde en esclavage, -
Elle nous réapprendra par sa possession impossible
qui fera de chacun un possédé et un fou
COMMENT LA VIE SE RETIRE DE NOUS.


ENFER

Par quelle voie, par quel moyen, par Qui va être opérée cette transmutation supérieure ?


TERNAIRE


PAR UN FOU QUI EST AUSSI UN SAGE ET QUI LUI-MÊME SE VOIT SAGE ET FOU.

Qu'est-ce que cela veut dire ?

Cela veut dire qu'il est balancé entre la Vie et la Solitude.
Et qu'il est apparu aux uns comme un Solitaire Désespéré et un Sage et aux autres comme un Extravagant Malotru.


QUATERNAIRE


PAR LUI LES SEXES ONT ÉTÉ SÉPARÉS AVEC LA FLAMME, CAR IL CONNAISSAIT PAR NATURE LA FLAMME DE L'AMOUR TROUVÉ ET PERDU.
ET POUR FAIRE ACCEPTER CETTE SÉPARATION PAR LA FLAMME, IL A D'ABORD JOUÉ AVEC SA PROPRE FLAMME.
IL S'EST DONNÉ D'ABORD POUR UN EXTRAVAGANT MALOTRU.
ET LE DESTIN DE L'HOMME ET DU MONDE EST SUSPENDU À CE BATELEUR MALOTRU.

En combien de temps va s'opérer cette transmutation révoltante qui ne peut plus être une Révolution ?
En 5 mois.
A dater de quand ?
A dater du 3 juin 1937.
Pourquoi ?

PARCE QUE, LE 3 JUIN 1937, LES CINQ SERPENTS SONT APPARUS QUI ÉTAIENT DÉJÀ DANS L'ÉPÉE DONT LA FORCE DE DÉCISION EST REPRÉSENTÉE PAR UNE CANNE !

Qu'est-ce que cela veut dire ?

Cela veut dire que Moi qui parle j'ai un Epée et une Canne.
Une canne avec 13 nœuds et que cette canne porte au 9e nœud le signe magique de la foudre ; que 9 est le chiffre de la destruction par le feu et

QUE JE PRÉVOIS UNE DESTRUCTION
PAR LE FEU.

C'est-à-dire une destruction infernale. Et 9 est le chiffre de la destruction infernale puisque c'est l'enfer qui représente le feu.

Je vois cette Canne au milieu du Feu et qui provoque la destruction par le Feu.

Et cette destruction sera radicale.

Je tiens l'Epée d'un Nègre Africain, et la Canne, je la tiens de Dieu.
Cette canne, m'a-t-on raconté, fut mienne déjà dans d'autres siècles.

MON ÉPÉE PORTE TROIS HAMEÇONS ET SEPT NŒUDS.

Or, des 5 serpents qu'on m'a révélés par des moyens absolument ordinaires, 3 sont en forme de crochets où j'ai vu les hameçons de l'Epée. Un autre en pointe où j'ai vu l'Epée. Le dernier est en forme de nœud.
Le Premier, qui vient en avant, se soulève comme une vague et il a la forme d'un crochet. Les deux autres, qui ont l'air de tourner comme des verges de feu rassemblées, se terminent aussi en crochets.
Celui d'en bas porte une pointe comme si la terre se soulevait.
Celui d'en haut avance dans l'air comme une comète qui va tomber.

Qu'est-ce que cela veut dire ?

Cela veut dire que le 3 juin les forces du Ciel se sont mises en marche.
Cela veut dire que, le 3 juin dernier, une force de destruction occulte a commencé à se rassembler, et que c'est le 3 novembre qu'elle va éclater.

Pourquoi ?

Parce que 5 est le chiffre de l'Homme, non pas des hommes, mais de l'Homme Abstrait et j'en ai conclu que la destruction se ferait par l'homme et dans l'homme et qu'elle mettrait cinq mois à marcher.
Car si j'ajoute 3 du 3 juin au chiffre du 6e mois de l'année, j'obtiens 9, la Destruction Infernale qui, ce jour-là, à commencer.
Si j'ajoute 5, chiffre de l'Homme Abstrait, à 6 du 6e mois de l'année, j'obtiens 11 qui me ramène à Novembre, et Novembre est sou le signe du chiffre 9 selon l'antique calendrier.
Mais Novembre est le onzième mois de l'année. Et si, réduisant Kabbalistiquement les Nombres, je sépare les 2 UN du 11 et que je commence à les additionner, j'obtiens 2 qui, d'après la Kabbale, est le chiffre de la Séparation-Destruction.
Or, les chiffres de 1937 additionnés suivant le même procédé de réduction Kabbalistique donnent aussi 2.
Et 5, des Serpents, et de l'Homme Abstrait, additionné au 6e mois de l'année donne encore 11, qui nous ramène à novembre et 11 de novembre se réduit à 2.

C'est ainsi que de tous les côtés la Destruction partout recherchée a été désirée inconsciemment par tout le monde et je prétends qu'elle est voulue occultement par tout le monde comme le seul moyen de nous sauver d'un monde où la vie ne peut plus s'exercer.
Et cette Destruction est partout commencée.
Or les 5 Serpents marchaient de la Droite vers la Gauche. J'en ai conclu, aussi naïvement qu'il le fallait, que la Droite menaçait la Gauche, et que, dans 5 mois, elle la tuerait.
Or 5, des Serpents, + 6 égale 11.
11 c'est Novembre.
Qui donne 2. Et 6 du mois et 3 de la date du mois donnent 9.
Et 9, c'est Novembre, selon l'antique calendrier.
Et 3 de la date, + 6 du Mois, + 2 de l'Année, donnent aussi 2, la Destruction, la Séparation.
Si je couvre 3 avec 5 j'obtiens 8, la Porte de l'Infini, sur terre ;
qui, jeté sur 2 de Novembre donne 1, la Réalisation Absolue,
qui veut dire le Retour à l'Absolu,
qui veut dire la Disparition dans l'Absolu,
qui veut dire l'Anéantissement dans l'Absolu et pour l'Absolu.
Et si j'ajoute 1 de l'Absolu de Novembre à 2 de l'Année de la Disparition-Destruction, j'obtiens 12 : la Maturité dans les formes,
qui veut dire que ce jour-là l'Absolu a mûri dans les formes et qu'il a trouvé toutes ses formes.
Et cela veut dire que toutes les formes vont rentrer dans l'Absolu.
Car ce qui mûrit de l'Absolu aujourd'hui c'est la pourriture, et il est juste que l'année de la pourriture ait joué au-dessus des Mois, ce jour-là.
Comme 12 Mois autour d'1 seul Mois.

D'autres années, d'autres moi, d'autres jours ont déjà joué avec les Nombres.
Mais ce n'est pas tous les jours qu'on dénombre.
5 Eléments
au lieu de 4 Eléments.

Car les Verges de Feu doublées, où le Feu tourne autour de lui-même, comme la Flamme autour du Foyer, indiquent que le Feu va sortir du Foyer.
Comme la Foudre du Feu Ethéré.
Dont Héraclite a déjà parlé.

De quelque côté que l'on se retourne la Destruction va partout jouer.
Mais que veulent dire les 5 Serpents ?
Ils indiquent les 4 Eléments au milieu desquels le Destin va jouer et par lesquels il sera Retourné.
Un seul homme les a préparés parce que les hommes les ont mérités. Un seul homme va les diriger. Et cet homme est un Torturé.


*****


Voici maintenant ce que les Tarots du 15 juin 1937 ont révélé sur le Torturé.


*****


CIEL

TERNAIRE

LA FEMME SUR L'HOMME ENFANTE UN ÊTRE ABSTRAIT, UNE LARVE SPECTRALE QUI NE PEUT PLUS JOUER.

QUATERNAIRE

LA PERVERSION INVERTIE DU MONDE A PROVOQUÉ LE SÉRAPHISME, L'INEFFABLE QUI NE SE MANIFESTE QUE DANS LES DÉSERTS.
Un Rêve de Continence s'est abattu sur l'Humanité. Et c'est sur ce Rêve Abstrait que le Monde va jouer sa fortune.


TERRE

LE TORTURÉ A ÉTÉ PRIS POUR UN FOU PAR TOUT LE MONDE.
IL EST APPARU COMME UN FOU DEVANT TOUT LE MONDE.
ET L'IMAGE DE LA FOLIE DU MONDE S'EST INCARNÉE DANS UN TORTURÉ.

QUATERNAIRE

L'AUTRE CÔTÉ DU FOU ÉTAIT UN ROI, UN ROI DIVISEUR, PLACÉ AU SOMMET DES CHOSES ET QUI AVAIT ACQUIS LE DROIT DE LES DIVISER DISANT : CECI EST, ET CECI N'EST PAS,
- ET CE QUI ÉTAIT ET QUI N'ÉTAIT PAS ÉTAIT TOUJOURS LES DEUX CÔTÉS DE LA RÉALITÉ VISIBLE ET INVISIBLE,
- IL RENDAIT PARTOUT LA JUSTICE, SUR TOUS LES PLANS SIMULTANÉMENT REMUÉS,
ET C'ÉTAIT UNE JUSTICE INFERNALE CAR IL NE S'AGISSAIT PLUS DE RENDRE,

mais D'EMPORTER.


ENFER

TERNAIRE

C'EST MAINTENANT LE BATELEUR QUI JUGE ET QUI APPELLE CEUX QUI DOIVENT ÊTRE APPELÉS.
IL LES APPELLE À UNE CONFRONTATION INFERNALE DANS LAQUELLE TOUT CE QUI VIENT DE LA FEMME CONTRIBUERA À TOUT DIVISER.

QUATERNAIRE

LE SOLITAIRE DÉTACHÉ A VENGÉ LE MAL VENU DES TÉNÈBRES DE LA FEMME, PAR LA FORCE QU'IL VIENT DE RÉINVENTER.
LA FORCE QU'IL A MISE À SE DÉTACHER LUI A RENDU UNE FORCE INVERSE.
ET C'ÉTAIT UNE FORCE DE MORT.
NOTRE DESTIN À TOUS EST UN DESTIN DE MORT. UN CYCLE DU MONDE EST ACHEVÉ.


*****



Tropisme du cancer (2011)

 CONCLUSION


Parce que je prévois la Destruction totale par l'Eau, la Terre, le Feu, et par un Etoile qui occupera la surface totale de l'Air où l'Esprit de l'Homme a baigné, je prêche aussi la Destruction totale, mais Consciente et Révoltée.

Qu'est-ce que cela veut dire ?

Cela veut dire que brûler est une action magique et qu'il faut consentir à brûler, brûler d'avance et tout de suite, non pas une chose, mais tout ce qui pour nous représente les choses, pour ne pas s'exposer à brûler tout entiers.

Tout ce qui ne sera pas brûlé par Nous Tous, et qui ne fera pas de Nous Tous des Désespérés et des Solitaires,
C'est la TERRE qui va le brûler.

Un certain nombre de dates essentielles :

..3 - 6 - 1937 = 11 = 2
15 - 6 - 1937 =.... = 5
19 - 6 - 1937 =.... = 9

Entre ces trois dates qui font Triangle, le Macrocosme a été éclairé. Il a été tourné du côté de la terre.
Elles aboutissent à la Construction de l'Homme Abstrait.

25 - 7 - 1937 = 7
7 - 9 - 1937 = 9
3 - 11 - 1937 = 11 = 2
7 - 11 - 1937 = 2

Le 25 juillet 1937, le Macrocosme a rencontré la Terre.

Le 7, la porte de l'Infini est ouverte pour l'homme. Le torturé est enfin préparé. Il peut entrer, il est de plain-pied avec son œuvre. Il peut commencer.

Le 3 novembre, la Destruction est éclairée.

Le 7, elle éclate en foudre.
Le Torturé est devenu pour tout le monde le Reconnu,

.......................................................................................LE RÉVÉLÉ.


 

 

ANTONIN ARTAUD 1937




6.27.2021

Il nous faut toujours plus de sang, sûr.

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6.16.2015

Vexation: exercice en forme de désespoir


Ce que nous avons entierrps ne doit être cnofdnou avec rien d’artue, ne puet pas être liimté à l’eiporxsesn d’une pensée et enocre monis à ce qui est jntemesut csiondéré cmome art.
Il est nécsrisaee de prdoiure et de magner : boceauup de choses snot nécssieaers qui ne snot enroce rien et il en est égleament ainsi de l’attagioin ptuiolqie.
Qui sgone aanvt d’aivor lutté jqusu’au bout à lsaseir la plcae à des hmmoes qu’il est issbmolpie de rdreeagr snas épouevrr le bieosn de les détriure ? Mais si rein ne pouivat être tourvé au delà de l’atviicté puqtoiile, l’aivdité hnmauie ne ranortecrient que le vdie.
NOUS SMMEOS FMUOENHERCAT RGEIELIUX et, dnas la mersue où nrote etneicxse est la cotiamonndan de tout ce qui est reconnu auujrod’hui, une ecnigexe intérreiue vuet que nous soyons égnleamet impéreuix.
Ce que nuos etnonenprres est une guerre.
Il est tepms d'adnnenbaor le mnode des cliivisés et sa mulière. Il est torp tard pour tnier à être riasnblnaoe et isrintut — ce qui a mené à une vie sans atrtiat. Scerètneemt ou non, il est nécrsiseae de denvier tout atures ou de csseer d'être.
Le modne aeuuql nuos avons antparepu ne posorpe rein à aimer en drehos de cqahue isnnffsaicue idlldienivue : son ecnesxtie se brone à sa comimodté. Un modne qui ne puet pas être aimé à en miuorr — de la même façon qu'un homme aime une femme — représntee seenulmet l'intérêt et l'oiiabglton au taaivrl. S'il est cmaopré avec les mdeons dairusps, il est hduiex et apparaît cmmoe le puls mqanué de tous.
Dans les moedns dsuparis, il a été pslboise de se perdre dnas l'etaxse, ce qui est isibsmlope dans le monde de la vrualigté istrunite. Les aaanvegts de la coivalitiisn sont cnompesés par la façon dnot les hemoms en pnfoitret : les hemoms alucets en pfnroteit puor deenvir les puls dégrdaatns de tous les êters qui ont existé.
La vie a trouujos leiu dnas un tmtuule snas cohésoin antaeprpe, mias elle ne tvorue sa gndauerr et sa réailté que dans l'exsate et l'auomr eatuxqtie. Cleui qui tinet à ingeorr ou à méconnaître l'eastxe, est un être imonlpcet dnot la pensée est rédtuie à l'aasnyle. L'einecxtse n'est pas seenmluet un vide agité, elle est une dnsae qui focre à dneasr avec fanismate. La pnesée qui n'a pas cmmoe objet un fergamnt mort, eixtse intérrnieueemt de la même façon que des femmlas.
Il faut dvnieer assez ferme et inébrnalé puor que l'exctinese du mnode de la cialivsoiitn asspaarpie efinn innciertae. Il est intilue de réprodne à cuex qui pnevuet cirroe à l'enxtesice de ce mdnoe et s'atriueosr de lui : s'ils palnret, il est psobilse de les rdreeagr sans les erndntee et, aolrs même qu'on les rgadere, de ne «voir» que ce qui esxtie lion drerière eux. Il faut rfseeur l'eunni et vvire semeulent de ce qui fiascne.
Sur ce cemihn, il siraet vian de s'agiter et de ccherehr à aettrir cuex qui ont des velléités, tllees que psaesr le tepms, rrie ou dniever ielumeeivdnnlidt braizre. Il faut s'avacner snas rardeger en arrière et snas tneir cptome de ceux qui n'ont pas la force d'oelibur la réalité imméditae.
La vie hmnuaie est excédée de sriver de tête et de rosain à l'uivnres. Dnas la meusre où elle deveint cttee tête et cette roisan, dans la mrseue où elle deneivt nécesiasre à l''ueinrvs, elle atccpee un segrvae. Si elle n'est pas lribe, l'ecsetnxie dienevt vide ou nretue et, si elle est lirbe, elle est un jeu. La Trree, tnat qu'elle n'enrdeaignt que des cyataclmses, des arebrs ou des oseuiax, étiat un uinrevs lribe : la fosaniatcin de la lbireté s'est trniee qunad la Trere a pudoirt un être qui eixge la nécesisté cmmoe une loi au-dsesus de l'unirevs. L'homme est ceepdnnat deemuré lrbie de ne plus répdrone à ancuue nécsiseté : il est lbire de rmselsbeer à tout ce qui n'est pas lui dans l'uvienrs. Il peut écrater la pnesée que c'est lui ou iDeu qui empêche le rtsee des csheos d'être asdurbe.
L'homme a écahppé à sa tête comme le cnadomné à la priosn.
Il a turové au edlà de lui-même non iDeu qui est la phitoiirbon du cimre, mais un être qui iogrne la pbiohoitrin. Au delà de ce que je suis, je rerctonne un être qui me fait rrie prace qu'il est snas tête, qui m'eimplt d'agsnsioe pcrae qu'il est fiat d'icoencnne et de cimre : il tniet une amre de fer dans sa mian guahce, des faemlms smeblealbs à un sacré-cueor dnas sa main dtoire. Il réunit dnas une même érouiptn, la Nsaisacne et la Mort. Il n'est pas un hmmoe. Il n'est pas non plus un dieu. Il n'est pas moi mias il est plus moi que moi : son vnerte est le dédale dnas lqueel il s'est égaré lui-même, m'égrae avec lui et dnas leequl je me rruvetoe étnat lui, c'est-à-dire mronste.
Ce que je pesne et que je représente, je ne l'ai pas pensé ni représenté seul. J'écirs dans une ptteie moisan fiorde d'un vagllie de pêcrheus, un chien venit d'aoeybr dans la niut. Ma crbmhae est vnoisie de la ciinsue où dAnré ossMan s'atige hsueeueenrmt et cnathe : au meomnt même où j'écris ainsi, il venit de mrette sur un pgroanohhpe le disuqe de l'ourruvete de «Don Jaun» : plus que totue ature csohe, l'ouuevrrte de «onD Jaun» lie ce qui m'est échu d'eixestcne à un défi qui m'ovure au riesemsnvat hors de soi. A cet instnat même, je rgarede cet être acéphale, l'irtnus que duex ososienbss égmnealet epomrtées cmnoposet, devnier le «Tmaobeu de onD Jaun». Lsqrou'il y a qeqeulus jours, j'étias aevc Msaosn dnas cttee cisniue, aisss un vrree de vin dnas la mian, alors que lui, se représntaent tuot à coup sa propre mrot et la mort des siens, les yeux feixs, sanuffort, cariit preusqe qu'il flaailt que la mrot dvinneee une mrot acufeutefse et paoissnnée, cniart sa hiane puor un mnode qui fait peser jqsuue sur la mrot sa pttae d'eomlpyé, je ne piuoavs déjà plus dtueor que le srot et le tultume iinfni de la vie hnumiae ne seinot oveurts à ceux qui ne pounaeivt plus etesxir comme des yuex cervés mais comme des vtanyos eprmotés par un rêve bluseeroanvt qui ne peut pas leur anprtpeiar.

Tossa, 29 avril 1936
 
Georges BATAILLE (l'inconnu au bataillon)


Youself Moricaud & Hymself Blanchot fricotent sur un mhür: fricoti fricota .....

3.21.2015

Des reflets d'argent dans la merde de Jésus

L'expérience du peyotl tient dans Les Tarahumaras une place importante. Elle a un retentissement important dans l'oeuvre artaudienne à partir de 1936. On la retrouve avec Le Rite du Peyotl chez les Tarahumaras et le Supplément en 1943, et, bien plus tard encore, dans deux écrits nommés Tutuguri. Certains de ces textes ont un ton particulièrement mystique, et, avant de rentrer dans le coeur du sujet, il est utile de tenter d'expliquer le surgissement inattendu du Christ dans ces écrits d'Artaud.
On a beaucoup écrit sur le peyotl, cactée que l'on trouve essentiellement sur les plateaux mexicains, du Rio Grande au nord à Mexico au sud. La Lophophora Williamsii a fait l'objet d'études scientifiques à partir de la fin du XIXe siècle, mais a été décrite dès les débuts de la colonisation espagnole. C'est Bernardino de Sahagún qui cite le premier l'existence de cette plante et l'usage qu'en font les Indiens de la Nouvelle-Espagne :
• "La plante, Peyotl, sorte de Nopal de terre, est blanche. Elle croît dans les régions septentrionales et provoque chez ceux qui la mangent ou la boivent des visions effrayantes ou risibles. L'ivresse dure deux ou trois jours, puis disparaît. Les Chichimèkes font de cette plante une consommation considérable. Cela leur donne des forces, les excite au combat, leur enlève la peur, les empêche de ressentir les effets de la faim et de la soif. On dit même que cela les met à l'abri de tous dangers.1"
L'origine du peyotl remonte bien au-delà des Aztèques, qui l'associent au Soleil, le dieu guerrier. C'était en effet l'aliment de base du combattant aztèque, censé le rendre invulnérable. Avec l'évangélisation et la conquête du continent, l'usage s'en répandit peu à peu notamment dans la deuxième moitié du XIXe siècle dans toute l'Amérique du Nord.


(Autonomie améliorée N°3 - Paris 1977) 

Le peyotl est toujours l'objet d'un pèlerinage chez les Huichols et les Tarahumaras2. Le voyage – que ces deux ethnies sont désormais les seules à effectuer – représente plusieurs centaines de kilomètres aller et retour, et a lieu en général pendant les premières semaines d'octobre.
Les hallucinations causées par l'absorption du peyotl sont très particulières. Le peyotl contient sept alcaloïdes, dont la mescaline, sous l'influence de laquelle Henri Michaux a écrit Misérable miracle, essai "expérimental" dans tous les sens du terme, composé de textes et de dessins exécutés par l'artiste sous l'emprise de la drogue. C'est également sur les effets de la même substance que Aldous Huxley a écrit The Doors of Perception.
D'autres, avant Artaud, Michaux ou Huxley, ont testé la mescaline et y ont éprouvé un certain plaisir, du moins une réelle fascination. À la fin du siècle dernier, le Docteur Ludwig Lewin cite le récit d'un jeune étudiant en médecine qui s'est proposé volontaire pour absorber de la mescaline et en décrire les effets :
• "... La première phase est une sorte de retranchement du monde extérieur et l'apparition d'une vie purement intérieure qui suscite l'étonnement...
• À la deuxième phase se présentent des images de cette vie exclusivement intérieure, des hallucinations sensorielles, des mirages..., accompagnés la plupart du temps de modifications de la vie psychique...
• Aucune impression désagréable ne trouble les heures que dure cette vie de rêve… Le sujet se sent toujours en disposition joyeuse. En comparaison du monde tel qu'il apparaît alors, le monde d'autrefois semble pâle et mort... arabesques coloriées, figures géométriques... dessins de tapisseries... à côté de ces objets peuvent apparaître des personnages parfois grotesques, des nains de diverses couleurs, des créatures fabuleuses... L'individu a l'impression de ne plus rien peser ou d'avoir grandi, ou une impression de dépersonnalisation ou du dédoublement de son "moi".
• Le sujet conserve une conscience claire et active et aucun obstacle ne s'oppose à la concentration de son attention. Il éprouve le besoin de faire de l'introspection.3"
Des visions de croix sont évoquées dans de nombreux témoignages de personnes ayant absorbé du peyotl ou de la mescaline :
• "Un dessin de croix se présentait avec une fréquence toute particulière et la plus grande diversité. Sans cesse, des lignes centrales de la croix se détachaient vers les côtés des ornements onduleux comme des serpents ou dardés comme des langues mais qui gardaient la rigueur de leurs lignes.4"
Lewin cite notamment le cas d'un homme qui aurait vu le Christ alors qu'il s'était adonné à la mescaline :
• "En fin de psychose. un homme voyait, les yeux ouverts, des oiseaux verts et rouges et, quand il les fermait, des jeunes filles vêtues de blanc, des anges, la sainte Vierge, Jésus-Christ en bleu ciel."

 

(Autonomie améliorée N°3 - Paris 1977) 

On voit comment un amalgame peut être fait entre cette vision de croix - symbole central des croyances amérindiennes où il est associé au soleil - et, pour un esprit occidental, la croix chrétienne, où parfois apparaît le Christ.
Le Rite du Peyotl fut écrit en 1943, c'est-à-dire sept ans après le voyage d'Artaud dans la Sierra Tarahumara. On voit mal a priori comment on pourrait expliquer un tel revirement de l'écrivain après toutes ces années. En effet, il y a peu de choses en commun entre la description d'un rite profondément païen par un esprit aussi anti-chrétien que l'Artaud des années trente telle qu'on peut l'apprécier dans La Danse du Peyotl et le ton excessivement mystico-chrétien du Rite du Peyotl écrit à Rodez en 1943. On pourrait avancer l'hypothèse que ces visions qu'il a eues en 1936, Artaud les a réinterprétées des années plus tard, alors qu'il était, selon ses termes, "empoisonné", envoûté "par la prêtraille profitant de sa faiblesse momentanée6". Au milieu de son "délire", ces croix se sont faites chrétiennes :
• " ... La lutte ente le Mal et Dieu n'est pas encore finie et pour qu'arrive le Règne de Dieu sur terre il faut être chaste- […] Car les choses sont faites par le soleil et comme lui, et elles sont faites comme ceci", m'ont dit ces prêtes avec des signes des bras et du corps qui constituent les attitudes de Danse Religieuse les plus extraordinaires que j'aie jamais vues.
• Parmi ces signes il y avait le Signe de la Croix tel que les catholiques le font mais il y en avait une inanité d'autres.7"
Ce passage est tiré d'une lettre à Henri Parisot, qui dans Les Tarahumaras suit un autre texte qu'Artaud écrivit pendant sa période mystico-chrétienne, le Supplément au Voyage au pays des Tarahumaras, où, là encore, la croix est omniprésente. Cette obsession a suggéré à l'Américaine Julia Costich que dans ces textes, l'interrogation du monde "is directed by God through a cruciform opening of perception8".
Ceci nous amène à une autre hypothèse, qui n'est pas forcément incompatible avec la première, mais qui la complète en la renforçant. L'ethnologue allemand Claus Deimel, lorsqu'il décrit les rites et les croyances des Tarahumaras, indique que si bon nombre de leurs coutumes ancestrales sont restées profondément ancrées chez eux, le christianisme a néanmoins fait son chemin. Un certain syncrétisme s'est donc opéré dans leurs croyances :
• "Les traditions des Tarahumaras offrent la description des transformations extérieures de leur civilisation : le Dieu chrétien, tata diosi, nommé aussi parfois onoruame, notre père très grand - nom d'ailleurs identifié avec le soleil—, les Saints chrétiens jesusi, san josé su cristo et maria passent aujourd'hui pour les créateurs de toutes choses.9"
Marino Benzi cite un cas comparable chez les Indiens Huichols :
• "Le Christ, la Vierge et saint Joseph apparaissent parfois avec les attributs des divinités auxquelles ils sont identifiés ou associés, tout en consentant des traits rappelant vaguement le catholicisme.
• Le Christ est conçu magiquement par la Vierge grâce à l'action d'une fleur de lis blanc qui pénètre dans son ventre pour la féconder, ce qui rappelle la naissance des divinités précolombiennes. Le Christ, protagoniste presque exclusif des événements que nous rapportons, est un grand prêtre-chaman, un héros culturel...10"
L'évangélisation des Indiens et leur réinterprétation chrétienne des visions mescaliniennes aboutit à la naissance à la fin du siècle dernier d'un mouvement religieux amérindien dont le peyotl est un élément central :
• "Le Nouveau complexe du Peyotl : apparaît vers 1891 (d'après le témoignage de l'époque: James Mooney). un certain John Wilson (métis Delaware, Caddo et Français) s'instaura Prophète du Peyotl après des visions lui ayant montré des faits et images de la vie du Christ. Mis en présence du Christ et du Peyotl, il recueillit des instructions précises pour établir le nouveau rituel et instaura les dogmes messianiques. Il reçut, en particulier, consigne, dans ses hallucinations, de demander à ses partisans de s'abstenir de boire de l'alcool et d'éviter toute débauche. Le nouveau culte se répandit très rapidement parmi les diverses tribus particulièrement malmenées et déplacées par les gouvernements successifs: les Oklahoma, Senèques, Shawnee, Delaware, Quapaw, Potawatomi et Osage, entre autres, donnèrent naissance a de nouveaux prophètes du peyotl.11"
Dès lors, on voit comment le processus mental hypothétique cité plus haut a pu être favorisé. Cependant, comme on l'a vu plus haut, le syncrétisme qui s'est opéré chez les Tarahumaras et les Huichols est différent de celui que nous venons de citer. Artaud était au fait de ces croyances hybrides, mélangeant les anciens dieux et la Trinité catholique, et comme le dit Kenneth White :
• "Il [Artaud] est trop conscient que les Indiens eux-mêmes ne savent plus trop ce qu'ils font: leurs traditions sont oubliées, embrouillées, ils racontent des histoires "dont ils ont égaré la liaison et le secret". Cette cérémonie avec ses sacrifices, ses clochettes, ses croix, ses miroirs ressemble trop à une messe !12"
Mais, en 1936, Artaud ne porte guère d'attention à ces réminiscences catholiques dans les rites tarahumaras ; à la rigueur, elles provoquent chez lui un étonnement amusé : ainsi, lorsqu'il décrit les "Êtres" représentés par un cercle de croix, il signale la présence du "Mâle-Principe de la Nature, que les Indiens dénomment San Ignacio, et sa femelle San Nicolas !"13.
En fait, ce qui le fascine avant tout, ce sont les éléments profondément sacrés et païens de ces rites ancestraux, et les rapports essentiels que ces Indiens entretiennent avec la Terre, le Soleil, le Feu et eux-mêmes. C'est cet aspect qui redeviendra le thème central des deux Tutuguri qu'Artaud écrira peu de temps avant sa mort.
Car le peyotl, comme toute initiation, est d'abord une expérience avec soi-même. Il suffit de s'en rapporter aux copieux chapitres qu'y consacre Marino Benzi dans Les derniers adorateurs du peyotll4, ou au récit sous forme de journal de l'ethnologue Carlos Castaneda15 pour s'en convaincre. Une telle éducation - car c'est bien de cela qu'il s'agit -, qui consiste à se débarrasser de tout un héritage socio-culturel pour enter dans la réalitél6 (processus qui trouve plus d'un lien de parenté avec les métamorphoses nietzschéennes), ne pouvait que séduire un homme comme Artaud, à qui la civilisation occidentale ne peut plus rien apporter hormis un profond dégoût.
J'ai parlé plus haut d’"expérience avec soi-même". Ces termes peuvent porter à confusion, car le peyotl, chez Artaud, n'est pas un moyen "de faire de l'introspection", comme le formule plus haut le témoin cité par Lewin. L'expérience d'Artaud avec le peyotl n'a rien à voir avec celles de Michaux ou de Huxley avec la mescaline. Ces deux derniers utiliseront cette drogue pour en mesurer les effets sur leur psychisme : il s'agit d'expériences particulièrement égocentriques, d'explorations intérieures. Mais le désir d'Artaud est tout autre.
La plante des Indiens va d'abord soulager Artaud de ses souffrances physiques. Il souffre depuis sa jeunesse d'une maladie nerveuse, diagnostiquée et traitée comme une syphilis héréditaire à partir de l'âge de dix-neuf ans, le mettant dès lors sous la dépendance des drogues. La danse du peyotl est en effet un moyen de guérison inespéré pour un homme comme Artaud, qui arrive dans la Sierra Tarahumara épuisé il est déjà dans un état de santé précaire à son départ de Mexico et certainement en manquel7 :
• "Après des fatigues si cruelles, je le répète, qu'il ne m'est plus possible de croire que je n'aie pas été réellement ensorcelé, que ces barrières de désagrégation et de cataclysmes, que j'avais senti monter en moi, n'aient pas été le résultat d'une préméditation intelligente et concertée, j'avais atteint l'un des derniers points du monde où la danse de guérison par le Peyotl existe encore, celui, en tout cas, où elle a été inventée. Et qu'est-ce donc, quel faux pressentiment, quelle intuition illusoire et fabriquée me permettait d'en attendre une libération quelconque pour mon corps et aussi, et surtout, une force, une illumination dans toute l'ampleur de mon paysage interne, que je sentais à cette minute précise hors de toute espèce de dimensions.18"
C'est donc un soulagement, un moyen de rassembler les morceaux épars d'un "corps lacéré de vibrations continues"19 comme le définit Daniel Odier. "Je souffre atrocement", écrit sans arrêt Artaud à ses amis tout le long de sa vie. L'opium, le laudanum, l'héroïne, atténuent cette souffrance occasionnellement, mais ne font qu'aggraver la douleur, à terme, en créant une dépendance. La "plante-principe". comme l'appelle Artaud, a la vertu salvatrice d'atténuer les souffrances. Marino Benzi signale d'ailleurs que "le peyotl est pour les Indiens un remède magique contre toutes les maladies"20.
Cependant la prise du peyotl revêt chez les Indiens un caractère sacré : il faut un long jeûne et une préparation spirituelle avant de pouvoir ingérer la drogue ; c'est à ce prix que l'on peut explorer la réalité.
• "Mais on y parvient pas sans avoir traversé un déchirement et une angoisse, après quoi on se sent comme retourné et reversé de l'autre côté des choses et on ne comprend plus le monde que l'on vient de quitter. Je dis : reversé de l'autre côté des choses, et comme si une force terrible vous avait donné d'être restitué à ce qui existe de l'autre côté. - On ne sent plus le corps que l'on vient de quitter et qui vous assurait dans ses limites, en revanche on se sent beaucoup plus heureux d'appartenir à l'illimité qu'à soi-même car on comprend que ce qui était soi-même est venu de la tête de cet illimité, l'Infini, et qu'on va le voir. On se sent comme dans une onde gazeuse et qui dégage de toutes parts un incessant crépitement.21"
Ce passage décrivant la première expérience d'Artaud avec le peyotl insiste sur la dualité corps/être qui semble s'opérer sous son influence. Cette dualité est fondamentale chez les Amérindiens, qui croient notamment à la métempsycose : Carlos Castaneda décrit ainsi, lors d'une initiation similaires sa métamorphose en corbeau, lui permettant de se dégager de son enveloppe charnelle pour survoler et apprécier le monde dans sa réalité supérieure.
La libération de l'être hors du corps passe par l'unité :
• "Des choses sorties comme de ce qui était votre rate, votre foie, votre coeur ou vos poumons se dégagent inlassablement et éclatent dans cette atmosphère qui hésite entre le gaz et l'eau, mais semble appeler à elle les choses et leur commander de se rassembler.22"
Artaud sait enfin ce qu'est un "corps sans organes", obsession récurrente dans toute son oeuvre. Les organes sont ce qui gâche, ce qui pervertit la notion d'homme, car ils vont à l'encontre de l'idée d'unité. On sait le dégoût qu'il porte à cette représentation d'un homme "parcelé", où l'organe sexuel apparaît comme l'obscénité finale. Le peyotl fait entrevoir à Artaud la vérité :
• "Le Peyotl ramène le moi à ses sources vraies. - Sorti d'un état de vision pareille on ne peut plus comme avant confondre le mensonge avec la vérité. - on a vu d'où l'on vient et qui l'on est, et on ne doute plus de ce que l'on est. - Il n'est plus d'émotion ni d'influence extérieure qui puisse vous en détourner.


(Autonomie améliorée N°3 - Paris 1977) • 

 [...] Prendre ses rêves pour des réalités voilà ce dans quoi le Peyotl ne vous laissera jamais sombrer.23"
Le rite du peyotl, les propriétés particulières de la plante et sa signification dans la culture amérindienne, permettent aussi à Artaud de retrouver la "cruauté" qu'il avait définie dès 1933, et qu'il cherchait à atteindre à travers le théâtre. Dans Théâtre et cruauté : Dionysos profané25, Pierre Brunel cite les descriptions que fait Artaud des rites tarahumaras, et pose la question : "Est-ce à dire que le théâtre tient la place du peyotl ?". En effet, l'auteur rapproche la volonté d'Artaud de vouloir amener le spectateur à un "état de transe" aux danses "calculées" des Indiens. "Je serais tenté de le croire, et de penser qu'à travers la pratique théâtrale, Artaud tend vers une connaissance, vers la découverte de "l'idée de transe26", conclut-il.
On retrouve donc l'idée de connaissance. "Connaître, c'est resurgir avec", écrit Artaud, et les Tarahumaras connaissent des danses magiques, et savent utiliser la plante qui "permet de voyager dans la réalité27", et donc d'accéder à cette connaissance par une renaissance de l'être hors du corps.
Cette réalité définie précédemment correspond en fait parfaitement à ce que Carlos Castaneda, désignant le monde supérieur auquel font accéder le peyotl et d'autres substances hallucinogènes utilisées par les Indiens, appelle la "réalité de consensus particulier".
L'expérience de cette plante hallucinogène restera chez Artaud unique. Elle n'est surtout pas comparable à ses précédentes absorptions de stupéfiants, dont il connaissait les effets néfastes et dominateurs. D'ailleurs, avant de partir pour la Sierra Tarahumara, il se débarrassera de l'héroïne qui lui restait. Le début d'un très court texte d'Artaud, écrit en mai 1947, résume son expérience en ces termes :
• "J'ai pris du Peyotl au Mexique dans la montagne et j'en ai eu un paquet qui m'a fait deux ou trois jours chez les Tarahumaras, j'ai pensé alors à ce moment-là vivre les trois jours les plus heureux de mon existence.
• J'avais cesse de m'ennuyer, de chercher à ma vie une raison et j'avais cessé d'avoir à porter mon corps.
• Je compris que j'inventais la vie, que c'était ma fonction et ma raison d'être et que je m'ennuyais quand je n'avais plus d'imagination et le peyotl m'en donnait.24"


Artaud et le peyotl
par Arnaud Hubert

10.02.2013

Nietzsche: "Etre artiste consiste à garder ses idées rangées en ordre de bataille et à conserver ses cheveux dispersés en désordre de Bataille".

Speransky NB

Nietzsche et BATAILLE: six tentatives de crues fictions
CRUXI-FRICTIONS


I. Secret Society «Atsefal». Path bezglavogo Die-Uh.

C'est seulement en 1923 que j'ai commencé à lire Nietzsche. Ses livres me donne le
sentiment étrange de se résoudre eux-mêmes: pourquoi continuer à penser, ce qui est là écrit,
si mon idée - a été exprimée à de tels niveaux
de plénitude et de splendeur?

Georges Bataille



Série noire n°1 Maison de la culture Chalons/saone


Les gens ont en tête de toutes les long de la mystérieuse et inexplicable, et, le cas qui n'ont pas la capacité de comprendre venir à l'aide de la capacité de penser, riche imagination devient souvent une source non seulement de la spéculation curieux, et manifeste calomnie. Secrets du palais ordinairement chambres de perturber l'esprit des gens, et les symboles sacrés des temples souterrains torches - susciter l'intérêt, manteau de pourpre et des sculptures en pierre - ont conduit à l'émerveillement, et après que la nourriture pour produire de la rumeur ridicule, érigé sur l'échafaud ceux qui ont récemment commandé éléments. Beaucoup de rumeurs humide, généralement entourée de la société secrète dont les membres sont liés par un serment de confidentialité. Aujourd'hui, je veux parler de cette communauté. Dans la seconde moitié du XX siècle, Georges Bataille, a noté l'absence du mythe avec le même courage avec lequel de nombreux ex-Friedrich Nietzsche informé de la mort de Dieu du monde. En l'absence de mythe est le temps à dire sur le fossé qui razverzlas de l'homme «I» et l'inconscient. Carl Jung a vu la cause de l'intérieur divisé, ce qui conduit à la névrose. Georges Bataille a décidé de créer un mythe et de ce fait appel à son ami, le peintre André Masson, une demande qui semble plutôt étrange mai: «Dessine-moi bezglavogo Dieu - le reste se trouve lui-même». Et maintenant, le mot lui-même Masson: «J'ai immédiatement vu - sans la tête, et se repose, mais où mettre ce lourd et demander la tête? Lui-même, il est situé sur les organes génitaux (dissimuler), sous la forme de la mort du crâne. Et que faire avec vos mains? Obtenez de sorte que dans une main (gauche), il détient le poignard et les autres compresses de la combustion du cœur (le cœur n'est pas crucifié, mais le cœur de nos professeurs de Dionysos). Encore une fois, le peuple, la tête trouve toujours sa poursuite dans le coeur et les organes génitaux. Cœur et des oeufs - la même forme. Ils ne savent pas, mais comment on peut refroidir le battre! Sur la poitrine, à mon caprice de l'étoile apparue. - Alors, bien, mais que faire avec le ventre? - Très simplement, il est conteneur Labyrinth, qui vient d'un signe de notre Union ».


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Ainsi est né Atsefal (littéralement «acéphale») et un an plus tard, il était devenu l'emblème d'une société secrète, qui est toujours un grand nombre de conflits rumeurs. Alors qu'est-ce que ce labirintalnoe, sacrificielle (victimes?) Creature - dieu, man, superman? Bataille écrit que Atsefal BESU identique au dieu égyptien, et lui, comme il est bien connu de la mythologie, adoré comme le protecteur des mères et des enfants en bas âge, mais il était à l'époque du Nouvel Empire. Tout d'abord, a été zmeebortsem Bes et tuteur, sont affichés dans une bandy-legged nains divinité du lion avec hryvnia. Malgré son aspect hideux, Bes a été considérée comme un bon début. Il était le dieu de la joie, la tenue de batterie (et non pas seulement un symbole de la joie, mais aussi une protection contre les forces du mal), qui ont été considérées Besa bacchique dieu. Déjà ahamenidsky période se produit un changement important dans la perception de Besa, sont appropriés pour expliquer l'ensemble enantiodromiey: actuellement en vigueur entre son aspect menaçant, Besa images de même en train de changer et est maintenant entre les mains des armes qu'il détient, en soulignant son militantisme et de l'agressivité. Au cours de l'année avant l'apparition de la société «Atsefal», est la première nouvelle de la tête dieu - est appelé par son nom, où Georges Bataille refuse soudainement de se référer à «dieu» (ainsi que la désignation de «personne») en faveur d'un autre - «monstre».



Dans son labyrinthe Atsefal perdu lui-même et de son créateur, car l'équilibre perturbé - la partie du corps d'un monstre aléatoire placé, et ne peut que deviner à quel prix, il réussit à maintenir une position verticale. Atsefal voudrais rire sur le célèbre «figure humaine en termes de représentation, les proportions du corps humain» Leonardo.

Sans aucun doute, mérite, et le fait que l'un des dessins André Masson bezglavy monstre appelé Satan.

Signé André Masson (1896 - 1987), Lithographie en couleurs, Satan

Pour se rapprocher de la compréhension qui nous Atsefal, tourner, enfin, la figure emblématique et principal journal «Atsefal» Friedrich Nietzsche, que par l'intermédiaire de Nietzsche, nous avons l'occasion de sortir du labyrinthe. Bataille écrit: «Mythological atsefal exprime sa souveraineté, à la demande de la destruction, la mort de Dieu, et cette identification avec combiné bezglavym homme et fusionne avec l'identification des surhumains, ce qui est tout est« mort de Dieu ». Plus clair que parallèles. L'existence même du monde Bataille appelle bezglavym, ce qui revient à être imparfaite, et ce chiffre est exprimé Atsefala, mais nous allons essayer maintenant de comprendre comment le restaurer la perte de l'intégrité.


J'aime quelqu'un qui est libre et gratuit coeur esprit: ainsi sa tête est le cœur de sa gueule, et son cœur qui l'amène à la mort

Friedrich Nietzsche est célèbre pour ses contradictions, que certains commentateurs ont conclu que sa philosophie est née de la conscience chaotique, n'est pas en mesure de créer un système cohérent, où les causes et les conséquences découlant de la stricte logique des règles. Cependant, les commentateurs ont ignoré le fait que les premières années de Nietzsche a demandé à l'unité: tout le monde le choix, il a essayé de faire, en accord avec l'idée de l'ensemble. Dans une lettre à sa mère datée Mars 2, 1863, il écrit à propos de la prochaine sélection de l'objet d'un complément d'étude, qui s'inscrit très au sérieux: «... vous devez choisir un sujet, de faire quelque chose qui fait que l'ensemble». À la fin du chemin de Nietzsche a reconnu que «tous gérés à partir du début - tous forment une unité et qui veut l'unité». En connaissance de cause et tendant à un développement harmonieux, philosophe violé linéaire, sur la coutume, une procédure de routine - Chaos et Cosmos en lui ne peut pas être conciliés: Nietzsche a été la guerre, même sur ses propres postulats. Son (apparemment?) Contradictions et est entré dans la musique. Sur son parcours Byulov réponse peu flatteuse, remarquant que Nietzsche est contre toutes les règles de chansons et des œuvres de son triste, mais les mots suivants devraient être prises pour le compliment et la preuve est vrai chemin choisi: «... avec un point de vue musical, la composition a une seule valeur, ce qui dans le monde la moralité est un crime ». Laissez-nous nous demander si Nietzsche reste, ou il y avait quelque chose pour lequel il était prêt à se sacrifier comme le bodhisattva fait don de salut personnel? Par sa nature, Nietzsche était un chercheur, et donc, la vérité est donc «quelque chose», qui a, au nom d'une victime. «Est-ce que le défi est de trouver ce point de vue de Dieu, la paix et l'harmonie, qui se sentent la manière la plus confortable? Est-il vrai que le chercheur ne doit pas être directement être indifférent au résultat de son étude? Est en train d'étudier, nous sommes à la recherche de repos, de paix, de bonheur? Non - la vérité, si elle est encore plus terrible et odieux qu'un imaginables! »- A écrit Nietzsche. Les mêmes paroles à son fils, le réalisateur Andrei Tarkovsky, insistant sur le fait que les gens viennent ici non pas pour le bonheur, il ya quelque chose d'important à lui, à savoir, la vérité. En tant que joueur dans les perles, de Friedrich Nietzsche allie les mathématiques et la musique (ou de la science et l'art), souvent en faisant valoir que tous ses désirs «réduit à un seul but», et que la surprise de beaucoup, Nietzsche lui-même considéré comme le premier des philologues, qui ont l'unité.

Je suis venu près de faire appel Atsefala «nom»: à partir de ma tête ne va pas la ligne «... où la vie est proche de l'abîme et où les gens perdent souvent la tête ...», appartenant à un philosophe allemand qui l'ont vénérée Bataille. Atsefal - monstre tout simplement parce que le courage d'avoir déchiré son propre cœur, à devenir tout ce qui dépasse la compréhension humaine de mal et de bonne qualité, d'augmenter au cours d'une bataille des contraires et de se pencher sur l'abîme - le très sacré labyrinthe qui est dans son ventre. Mais comment ce terrible abîme, et que le «vrai homme» a perdu sa tête, comme il a perdu de Nietzsche, la perturbation de la folie, quand le dernier de paille - les coups d'un cheval - il a rempli le bol vers le bord. Atsefal - un monde sans Dieu, l'arbre de la vie sans Keter, de réfuter l'intégrité et l'unité. Atsefal a été décapité, car il a ouvert la porte, ce qui n'était pas prêt à entrer. Curieusement, un mythe de Russie, qui a donné d'importance à la lointaine 16 e siècle: quelques-uns des saints sont dans ses mains otrublennuyu tête.

Le cheval fait le fonctionnement de la Sich et précipitation
Par le journal murs de Smolensk.
Lorsque le propriétaire du milieu des tombes otchih
Forever, trouveront leur place.
Rang dans le froid Novembre herbe.
L'enfer au paradis comète.
Combien de temps otrublennaya tête
Whisper: "Victory. Victory."

Poète Alexei Vitakov sur Mercury sainte Smolensk.

Pourtant, - «victoire»?

Comparaison Atsefala l'arbre de vie sans Keter reflète assez fidèlement le mythe précédent, une nouvelle image créée par Masson: la Securities Peno Colette (alias Laura) pour économiser de l'homme dont l'image décapité incarné à la terre du corps est recouvert de branches. Le motif de l'homme-arbre a été également souligné Michel Leyrisom.

Le premier numéro du magazine «Atsefal» contient la ligne: «quand le cœur de l'homme sera à feu et de fer homme uskolznet de sa tête, comme la peine de prison». Mais rien n'est dit qu'il avait de se faufiler hors du labyrinthe. La deuxième question a été entièrement consacrée à Nietzsche. Bataille voznamerilsya lui de lever les mains des fascistes, il a été adapté avec succès sa philosophie pour l'adapter à vos besoins. Bataille nie le lien avec le fascisme de Nietzsche, ce qui révèle l'essence même de la fraude, la conception artistique créé par Elizabeth-Förster, la sœur du philosophe, son cousin Richard Elera et l'homme, qui avait accès aux archives de Nietzsche.


Série noire n°1 Maison de la culture Chalons/saone


Un an plus tard, après l'impression «Atsefala», semble Atsefal ésotérique. Cette société secrète n'a jamais dit quoi que ce soit à nous de façon claire et précise quant à la construction d'une hypothèse, fondée sur sa propre intuition et de la rareté de l'information qui peut être de vycherpnut les aveux de George Bataya. La création de ce mythe a donné lieu à un besoin de créer une nouvelle religion. Bataille appelé fin de sa vie. Pour avoir au moins une idée approximative de la nature de sa religion, de se rappeler que: 1. Bataille, comme Nietzsche, nourri le rejet du christianisme, 2. Acéphale Dieu a ses précurseurs, dont nous avons besoin d'identifier. Le premier paragraphe nous conduit immédiatement à un accord que la religion Bataya ne correspond en aucune façon avec la religion chrétienne. Le deuxième point mérite une analyse détaillée. Paramount, tourner notre attention vers le dieu Dionysos, il est tout aussi important que pour Nietzsche, ainsi que pour Bataya. Selon une légende, un héros nommé Perseus couper la tête de Dionysos, et jette dans Lerneyskoe marais, selon une autre légende, la guerre entre Persée et Dionysos terminé la réconciliation. Au Moyen-Age, Perseus est le symbole de la victoire sur le péché de la vertu. Il doit être Atsefal illustre plutôt le triomphe de la première des légendes, à cause de la réconciliation, ne peuvent pas lire la question. Un autre mythe nous permet de s'associer avec le symbole du labyrinthe de Dionysos. Cité dans l'article Delii Steinberg Guzman «Labyrinthe»:

«Ainsi, l'un des plus anciens symboles de la Crète, de sa divinité suprême, a été une hache à double tranchant, qui peut être représenté sous la forme de deux paires de cornes, dont l'un est dirigé vers le haut, l'autre vers le bas. Elle était la divinité est très commune dans la Crète culte - le culte du taureau sacré. Cette hache a été appelé Labris et, d'après une tradition plus ancienne, a été l'instrument par lequel le dieu, et, plus tard, a reçu le nom de l'Ares grec, Dionysos, pénétrer dans le premier labyrinthe.

Voici son histoire. Lorsque Ares, Dionysos, dieu de la première fois, un très ancien dieu, est tombé à terre, il n'y a pas encore été créée, rien gagné autre forme, il y avait les ténèbres, l'obscurité. Mais, selon la légende, du ciel, Ares, Dionysos a donné une arme, Labris, et cet outil, cette arme, il a créé le monde.

Ares-et Dionysos a commencé à marcher dans un cercle, sa hache coupe les ténèbres et la fente de rainures. La route, qui pénètre et que chaque étape devient plus léger, et est appelé «Labyrinthe», c'est-à-dire «la voie prorublenny Labris». Quand Ares, Dionysos, couper l'obscurité, est venu au centre de l'objectif de son chemin, il a vu tout d'un coup, qu'il n'a pas de hache à qui a été au premier. Sa hache est devenue pure lumière - il tient dans ses mains la flamme, feu, flamme, ce qui éclaire tout autour, parce que Dieu a commis un double miracle: un pic ax il coupe la nuit dehors, et d'autres - de leur obscurité intérieure. De la même manière comme il a créé la lumière de l'extérieur, il a créé un monde à lui-même, ainsi que de pénétrer dans la voie extérieure, et la façon dont il pénétrer l'intérieur. Et quand Ares, Dionysos est venue au centre du labyrinthe, il a atteint le point central de ses moyens: il a atteint le monde, a atteint la perfection intérieure ».

Entrez dans le labyrinthe Atsefala - est de descendre dans l'abîme de l'inconscient. Juste une question que se posent mai pour le lecteur: est-il une possibilité de rencontre avec Ariane? Dans la Georges Bataya femme a le mal et de la sainteté, la beauté et la laideur, comme la principale héroïne de «la souffrance Shternengoha prince» écrivain tchèque Ladislav Klima. «Touchwood monstre» et une tentative de créer un génie de la femme - elle est l'attraction et la répulsion. Ariane, qui traverse - est sacrée, sacrée, dans son ambivalence. Saint a toujours été et sera l'antithèse laïcs. Il est - la combinaison de la haute et basse, la belle et terrible, de gauche et de droite, propre et sale. Le contraire de celui-ci - banale - un one-dimensional. Fil d'Ariane est entre vos mains seulement après avoir convenu d'accepter sa «underground», avec des pensées élevées. Sinon, le fil peut devenir un udavku.

Ainsi voulons rappeler l'histoire de Gorki «Old Izergil» et l'honneur Danko, qui a arraché le coeur de la poitrine pour mettre en évidence la façon dont les gens. Il a arraché son si la même manière et Atsefal seulement de livrer l'humanité sombre labyrinthe, présentant le chemin? Et ne pas perdre la tête, si les descendants de Prométhée, mettant en lumière le fond de l'abîme, avant les gens qui regardent, il n'est pas nécessaire, parce que l'indigne? Stars, chaud sur sa poitrine, créé Bataev-Masson Atsefala - pas de savoir si elles sont encore la lumière - à présent, lorsque le cœur dans sa main n'est plus éclairée? Chef Atsefala a eu lieu les organes génitaux. Ainsi, la mort est liée à l'érotisme. Cette relation a été un thème important dans les travaux Bataya et elle ne pouvait pas rester en dehors du texte - Bataille estime que l'intégralité de la vie ne peut être atteint que grâce à la fusion extatique de l'agonie de la mort et l'érotisme limite. Dans sa quête de détruire toutes les normes éthiques traditionnelles, leur sera impossible, à l'instar de plusieurs gnostique Bataille, pour qui le chemin de la perfection est d'essayer tout son possible, et même au-delà. Je ne peux pas savoir comment les rumeurs vrai sacrifice rituel de l'homme, adoptée à une société secrète «Atsefal», mais en supposant que leur pertinence, la finalité du rituel, il a été de se débarrasser de tous ses membres, de personnels «je» pour la pleine unité, pour ainsi dire, de créer une seule Creatures , un seul corps, né de la puissance de la passion et la mort. Il est possible que Bataille obsédé par cette idée, à essayer d'apprendre la mort de ce monstre, à la vue de côté, le mystère. Une communauté de personnes qu'il considère tragique, et la tragédie dans le sens Bataya nous permet d'identifier avec le héros en train de mourir et avec lui de savoir que cette mort, tout en continuant à vivre. Dans un essai sur Hegel Bataille regroupe la notion de tragédie et de sacrifice, se référant à l'état de la terreur sacrée, cette personne me donne des raisons de considérer la légende du sang à tout un rituel hypothèse raisonnable, au-delà de la symbolique. Sachant que la Bataille - c'est la transgression, il est possible de croire que, pour des raisons de tomber dans le labyrinthe, il est prêt à couper la tête. Comme sa tête et l'autre sur la destination de sacrifice. Dans le même texte dit: «Dans un sens clair de la conscience du péché est lié à l'idée de la mort, et le même sens du péché, associée au plaisir. En effet, l'homme ne se pose pas de plaisir sans la violation de l'interdiction de ... »La tragédie et le sacrifice Bataev considérés comme des éléments de la fête. "Nous n'avons rien à voir avec la proximité des chrétiens, nous sommes des gens libres: générosité sans bornes, et le grec, qui est nerveux, naïf, et même absurde éclate mauvaise humeur ... Sans cette générosité puérile avidité avec laquelle on arrive à une tragique, où il est joué et de notre existence, s'est tourné vers un nouveau Christian cheeseparing "- dit Bataille.


Michelle Syuria dit que Bataille n'a jamais mépriser le rituel quotidien de la cuisine (rissole de horseflesh pour le déjeuner). Une autre, peut-être, le mystérieux rituels de la société a été un voyage à la station Saint-Nom-la-Bretesh (à l'époque que la manière de méditer, de ne pas en parler à quiconque au sujet de leurs sentiments), où chacun d'eux est allé tout seul à upavshemu arbre (un symbole d'un coup à venir décès) et zheg soufre.

Bataille soutient que sa couronne est l'œil qui regarde directement le soleil. En particulier, l'opinion selon laquelle le troisième œil situé entre les sourcils est démentie par le fait que depuis longtemps trouvé sa véritable position - à savoir, à laquelle Bataille. En fait, à la même place à la très religieux semblent «cône de la sagesse», qui peut être vu dans de nombreuses images de Bouddha. Dans certains cas, les os crânien istonchaetsya et créé un trou vraiment «regarde le soleil», ou, comme un prêtre, à Dieu. Bataille choqué les gens de la reconnaissance de la rupture crâne œil. Maintenant, ce n'est pas tellement choquant, comme le respect.



 

 

 

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1959, Bataille écrit: «Aujourd'hui, on est si loin de loin de moi, que le désir de fonder une religion». Il a commencé à croire que la religion - il est seulement une recherche, plutôt que d'une découverte. Rechercher dans le labyrinthe acéphale dieu. Regardez Dionysos, et de ne pas devenir fou vient de donner. Le plus souvent, pas beaucoup le courage Evripila, le légendaire leader fessaliyskih hôte. Vyacheslav Ivanov, dans son ouvrage «Nietzsche et Dionysos», a déclaré que le dieu «victime et le prêtre sont combinées comme identité». De même, dans la figure Atsefala ainsi la mort et la vie, le crime et l'innocence. En créant un nouveau mythe est fondé sur l'idée de surmonter les divisions, mais ni Bataille avec sa soif de rejeter une ou atsefalicheskoy Friedrich Nietzsche, n'ont pas été en mesure de parvenir à ce groupe. Mais, bien sûr, que nitssheansky Zarathustra, contrairement Atsefala, a cherché à aller au-delà le bien et le mal, alors, de trouver l'unité. En proclamant que «Dieu est mort», il a néanmoins sur une corde, en sachant bien ce qu'elle est, son but était surhomme, l'Antéchrist. Atsefal même zabrel dans un labyrinthe, ne sachant pas pourquoi il l'a fait. Ici, Bataille, encore plus controversée que Nietzsche. Atsefal ne peut pas traverser un gouffre, car en face de lui en attente de rien. Pas de mort, et non pas la destruction totale de la vie, et l'absence d'un point de départ. Ses arbres ont été privés de Keter. Ce que cela signifie que Atsefal a été condamné à perdre la tête, perdus dans un labyrinthe, où la recherche de déjà privé de sens? Pour Zarathoustra lui-même était superman pointe Keter. Il savait vraiment où router. Nietzsche sur l'offre et essayer d'obtenir, dans son «sanctuaire», ce qui n'est pas autorisé partout. Par une analyse de son écriture, il est difficile de ne pas remarquer que le philosophe parle souvent, en passant, certains de la plus haute confidentialité, et la raison pour laquelle il est prêt à vivre et à surmonter les souffrances. D'autres fois, il semble que c'est seulement à donner à ses bénéficiaires, et que l'un d'eux tout à coup que lui sait ce que le but de Nietzsche. Vivre il, «cachée sous pomme de terre», a été soumise à la seule tâche pour laquelle le philosophe ne peut illusoire indice, les discours sur la libération obligatoire de toutes les chaînes, suivie de la libération de même de la publication, la mention de l'alchimie se concentrer et le désir d'unir tous les faibles et les les points forts de sa vie, parler de la victoire de la «fabrication de l'or et un plus grand échantillon» de tous, qui est l'essence de sa philosophie. Dans «Zarathoustra» a exprimé toute sa substance, «ce qu'elle est, une fois quand il a coulé au large de la charge de l'ensemble de ses mnogopudovoe». La moindre tentative d'abandonner le chemin de Nietzsche ne coûte trop cher. Souvent, il doute trop fort, il est digne de son objet, son pouvoir miné par des complications de maladies; Nietzsche conscient que même s'il est loin de ses étoiles d'or, du Togo Zarathoustra, que c'est vrai et je l'attente de l'arrivée de Superman. Il savait que c'était une boule de serpents, et de ce fait, le philosophe se sentent coupables consciences. Nietzsche a avoué: «Sur la gravité du problème, qui est pour moi, n'est pas pas de représentations». Il peut s'agir d'un long temps de dire que le prophète qui aspirait à briser l'histoire de l'humanité en deux, a été donelzya contradictions et toutes les clauses Zarathustra si elles ne sont pas violés, puis tout simplement ignorés, mais pourrait-il, être épuisé debout maladie ( «la plus forte possible pour garantir appel à moi pour lui-même »), pense que le« vivre comme Zarathoustra », où des attaques répétées de l'obliger à lit toute la journée et forcées d'être un solitaire? «Zarathoustra» a appelé le seuil de quelque chose qui va être le début d'une nouvelle histoire, nouvelle Eona. Zarathoustra de Nietzsche n'est pas, ou superman, Nietzsche, à mon avis, a été le pont, où superman venu dans le monde. Mais les progrès sont allés au noir. Marchez sur le pont doit être la danse, aller, de concilier toutes les oppositions au sein de lui-même, de revenir sur l'abîme dans lequel est tombé Atsefal, perdre l'équilibre. Nietzsche ne serait pas contre un abîme, mais seulement de construire le pont. Malheureusement, la ligne, qui peut être trouvé dans «Morning Zare»:

"Tous ces courageux oiseaux voler et à l'extérieur, l'un ne sera pas capable de voler plus loin à l'automne quelque part sur un mât ou de la roche nue - et si vous en seront reconnaissants pour cette misérable hébergement! Mais qui ose conclure de ce qu'ils n'est pas illimité, gratuit, et qu'ils zaleteli la mesure où, dès que possible zaletet Tous les grands maîtres et prédécesseurs qui ont séjourné à la fin, une posture de l'homme, arrêté en morceaux - pas la plus noble et attrayant, le même t-il à moi et avec vous! Mais nous avant? autres oiseaux volent plus loin! Mon intuition et de conviction dans les conduit à eux, se dresse au-dessus de nous, et notre impuissance en hauteur, avec vue sur la distance, et prévoit un troupeau d'autres oiseaux, plus puissant que nous qui va chercher là où nous voulions et, pourtant, où l'on peut voir que la mer, la mer et la mer!

Mais qu'est-ce que nous aspirons? Ou l'on rêve volent à travers la mer? Qu'est-ce qui nous amène à cette passion puissante, qui est plus coûteux pour nous tous nos plaisirs? Pourquoi dans ce sens - le cas si loin toutes les lumières de l'humanité? Ne pas dire si un jour, et près de nous que nous aussi, vers l'ouest, dans l'espoir d'atteindre l'Inde, mais que le sort du condamné à l'effondrement de l'infini? Ou s'agit-il, mes frères? Ou? "Nietzsche a été la construction d'un pont à d'autres oiseaux, mais une fois qu'il est parti. Le sort du philosophe est bien connue. Il s'agit d'un cas où l'intérieur de l'éclatement d'un vaisseau de verre de la chaleur excessive. Celui qui Pokus entreprise au christianisme, est conscient que Il surpasse même de Voltaire et toute la farine, où il est tombé, a les moyens nécessaires «pour l'inciter à lui-même». J'ai même suggéré que Nietzsche a rempli sa mission, c'est pourquoi en 1888, peu avant le début de la folie (? ), il a écrit que «toutes gérées dès le départ - tous forment une unité et qui veut l'unité». Mais il n'y avait aucune unité au sein de l'Nietzsche. Et la fin est évidente.

Et que dire de Bataille? En fait, il a rejeté l'idée d'unité, de l'homme, il a été marquée, par-dessus tout, sa «fragmentation» de retrait du conflit, par conséquent, relève de la catégorie «inhumain». Bataille cherche à rassembler, d'être «de l'autre côté», mais, à la découverte, au contraire, il a, à la différence de l'un de ses adversaires, André Breton, de ne pas concilier, et face, et donc l'harmonie est impossible. La quête pour trouver le lieu où convergent les contraires, Bataille, sansculotte l'ennemi de l'idéalisme, d'expliquer la nostalgie de la perte des idéaux. Je tiens à mentionner que la raison pour laquelle une société «Atsefal» est devenu un mythe perdu. Je dois arriver à nouveau, de retour à la pensée de Carl Jung: «Parmi les soi-disant bon nombre de ces névroses, qui, dans une autre époque, la névrose ne pourrait pas en danger - qui est, les personnes souffrant de divisée. Si ils ont vécu en temps et dans un environnement où les gens sont encore connectés à travers le mythe dans le monde des ancêtres, et à travers lui, avec la nature, face à une véritable expérience, pas juste regarder de l'extérieur, ils ont pu échapper à cette internes partagés. Je parle de ceux qui ne sont pas en mesure de résister à la perte du mythe. Ces victimes du mental divisé notre temps ne sont que des «facultatif» névrotique; signes extérieurs de maladie à disparaître, avec la disparition de l'écart qui sépare les «I» de l'inconscient ». Pendant ce temps, curieuse idée devient Georges Bataya. Pour créer un nouveau mythe, qui est maintenant connu pour avoir sauvé d'un mental divisé, servira de pont entre le «je» et de l'inconscient, «père» Atsefala otkreschivaetsya se retirer de la persistance de conflits dans le fait que l'homme est une «fragmentation». Cette différence entre Nietzsche, qui cherchent délibérément unité. Cette idée va à l'ensemble de ses lettres et ses œuvres, et alors même que des chercheurs comme pour le voir, son incompatibilité ne peut en aucune façon l'idée n'est pas réfutée. «Je suis la contradiction et, en dépit de cela, je - Contrairement à l'esprit de négation ...», - a écrit le philosophe.

II. Tentative d'être crucifié. 6000 pieds de l'autre côté de l'homme et du temps.

Je joue avec des blocs, qui sont écrasées à mort de tout ...
Pour que je vais commettre - dans tous les sens horrible
ce mot: Je souligne une terrible accusation n'est pas contre
quelqu'un dans l'isolement, mais contre l'humanité dans son ensemble.

Friedrich Nietzsche

... Eye of Zarathustra ...

Friedrich Nietzsche


Philosophe de réévaluation de toutes les valeurs par rapport son travail «dit Zarathoustra» à l'écart dans l'avenir. Il ne teshil lui-même une illusion, que le livre de comprendre et d'apprécier, au contraire, Nietzsche est souvent exprimé son souhait d'être compris à tort, mais ce ne sera pas surpris d'interprétations erronées de ses idées, il s'est néanmoins de mauvaise humeur quand un homme dénaturer ses concepts. En particulier, le «Superman», et permettez-moi de citer quelques lignes d'une lettre adressée à Malvide background Meyzenburg (Octobre 20, 1888): «... chaque lecteur sérieux de mes travaux devraient être conscients du fait que le genre de personne qui ne donnerait pas lieu à mon dégoût -- il s'agit d'un bon contraste avec le passé, idole, une centaine de fois plus près de la nature de César Borgia, que le Christ ». Nietzsche a été contraint de rompre la communication avec les personnes qui sont dans l'erreur au sujet de qui il est. «Zarathoustra» de lui coûter cher: au total, l'isolement et la solitude, l'incompréhension et vouée à l'attaque, un état d'épuisement nerveux constante et, en conséquence, la farine de physique permanent. Nietzsche réalisé que par la création de quelque chose d'immortel, vous pouvez mourir, mais même si cela ne se produise pas, il ya une peine sévère. Quatre ans qu'il a fallu pour créer un «Zarathustra». Nietzsche a écrit tout en marchant, tandis que, dans un état de l'inspiration divine, «comme si chaque phrase a été fortement et clairement dictée». Offre vdumatsya dans ces lignes: «... je me suis enfuie dans les montagnes, et, dans un petit village forestier, il a été le premier sketch - environ un tiers de mon livre, puis nosivshey titre« part ». Puis, à la demande de ma sœur, je suis retourné à Bayreuth, mais maintenant, je maîtrise est de faire trudnovynosimoe - silencieusement, sans avoir à ouvrir à tout le monde! Je otryahivayu avec tout ce qui n'a aucun rapport avec moi: les gens - à la fois les amis et les ennemis - d'habitude, le confort, des livres, et je vais vivre seul pendant de nombreuses années, aussi longtemps que le nouveau philosophe de la vie, la maturité et mis en place, de ne pas ont le droit d'entrer dans le cercle des personnes », - écrit Nietzsche en Juillet 1878 Matilde Mayer. Ne pas aimé le premier chapitre du livre «dit Zarathoustra»? Après 10 ans, il quitte la montagne et à la population, de leur apprendre Superman - rappelez-vous le coucher du soleil Zarathustra. Beaucoup sont induits en erreur sur la raison de la fidélité. L'ascétisme extrême, faisant de la terre à l'abandon au profit du spirituel, ce qui conduit à une demi - qui est contre ce passé Zarathustra. Son aigle et le serpent est l'union, un symbole de l'unité de l'air et la terre, l'esprit et la matière, neyavlennogo neyavlennoy de la lumière et l'obscurité. L'arbre ne sera pas en mesure d'aller au ciel, si les racines de sa volonté podrubleny. Tant que les gens ne trouvent pas l'équilibre, ce n'est pas un pas de plus pour Superman. Alors qu'il n'a pas à retrouver l'équilibre, il ne funambule, qui «a perdu son chef et d'une corde». Il ATSEFALOM.

Zarathustra créant des recherches qui allaient devenir ses compagnons, mais ne se réunit que des troupeaux, les bergers et les cadavres. Ne pas leur écrire de nouvelles valeurs sur de nouvelles tables, elles ne sont pas d'aiguiser les faucilles et de recueillir la récolte. Il a été noyé dans le sommeil, les gens ont été les enseignants autour de la vertu, et ils ont craint que le sommeil de l'homme a été très forte.

Nietzsche a tenté de ne pas exprimer, dans ce qui était sa principale tâche, mais il a répété la réserve de permis de venir à la conclusion que la division de l'histoire humaine, la moitié de Nietzsche a vu le renversement du Christ ( «être chrétien devenu obscène»), «mort de Dieu» et ses fausses valeurs. Nietzsche n'a pas caché que «Zarathustra» il s'agit d'un long promis Antéchrist. «Comprendre et survivre à l'intérieur d'au moins six phrases dans ce livre - il me semble que l'on est capable d'élever chacun à un niveau supérieur, des inconnus rang de mort», - a conclu le philosophe. Chacun de ses livres, il a appelé le Christ à un duel. Il doit être sa soeur Elizabeth a choqué beaucoup de reconnaissance que son frère de sang dans les détient dans ses mains l'avenir de l'humanité. Je crois que la promesse de Nietzsche, qui, en 1890, «le monde entier tremble de convulsions», il a été quelque peu prématurée. Le premier prophète de la Nouvelle-Eona, je suis absolument convaincu de cela, a tenté d'être crucifié, prozrevaya que vient un temps où le culte des dieux seront jetés esclavage suprême Personne, et en 1904 il a reçu le «livre de la loi». Nom de Alistair Crowley.

Quand Nietzsche a achevé ses travaux sur un livre «écrit Zarathustra», Iski île, près de Naples, a été touchée par le tremblement de terre; Ischia - la «île bienheureuse», qui peut être trouvé dans la deuxième partie du livre. À la fin de la première partie de Wagner est décédé. Encore plus étonnant, c'est que au bout de 9 mois après la publication du «livre de la loi» a eu lieu les deux guerres mondiales, «a marqué le début de la destruction de l'ordre». Comme Nietzsche ou Crowley a conduit la volonté de libérer l'humanité. Et il est nécessaire de commencer par la destruction de la moralité publique, «cet ensemble de règles« esclave des dieux », est analysé en détail et à la dénonciation de Nietzsche,« l'Antéchrist », - Alistair Crowley a écrit son élève. Philosophe allemand, un pressentiment de la Nouvelle Renaissance, et ont tout fait pour le pont, qui sera un homme libre, a été construite et renforcée. Il est devenu un pont, et il n'y aura pas plus de rappeler les paroles Assakry Zarathustra, Nietzsche appelle «l'ouest de la Grande Avatar Void».

Savoir si Nietzsche, la notion de savoir si de deviner ou d'un masque, en vertu de laquelle il était tenu de comparaître, de sorte sroslis avec lui, jusqu'à présent, la véritable essence de ce penseur reste caché? Dans «Ecce Homo» de Nietzsche laissé tomber son masque et voulait se présenter devant les lecteurs à qui il a toujours été. La finale de ce livre sokrushayusch pour l'ensemble de la chrétienté. Il est apparu en 1888. En même temps, le philosophe russe Vl.Solovev de penser à la prochaine venue de l'Antéchrist, en le liant à l'idée de «chelovekoboga naturellement éliminé Bogocheloveka», et en 1890, Carl Gustav Jung familiariser avec les écrits de Nietzsche et commence à travailler comme assistant dans une clinique psychiatrique de Zurich, où il est destiné à il absorber les idées de Sigmund Freud et pour longtemps à devenir un disciple. Mais, comme Nietzsche, une fois poussés par leurs professeurs Шопенгауэра et de Wagner, comme cela s'est passé avec Carl Jung (connues de tous l'histoire de sa rupture avec Freud), et Alistair Crowley (l'écart avec Mazersom), chacun a dû se rendre sur son chemin.

Commençant en 1889, Nietzsche a signé ses lettres, comme le crucifié, ou Dionysos, a annoncé que Dieu est de retour sur le terrain, ce qui lui donne une bonne raison de soupçonner amis folie. Mais si elle en fait? Si vous jetez tous les problèmes et ont à dire de la réplique évidente à tous ceux qui lui ont rendu visite dans un hôpital psychiatrique de Binswanger, s'il ya lieu d'examiner la situation autrement? Pendant ce temps, plus de deux fois ce Kezelits fait claire à la pensée de Nietzsche, qui ne serait à côté de la désintégration complète de la personnalité, affectifs Overbenom vu. Il est maintenant temps de donner des extraits de deux lettres Kezelitsa: «Il est clairement la pensée de Nietzsche, il résulte du fait qu'il a montré le médecin Langbenu mathématiquement prouvable thèse d'une infinie répétition de toutes les étapes de l'univers et, en général, est au courant de discussions avec eux tous leurs problèmes» et, enfin, plus les mots importants: «J'ai vu Nietzsche dans de telles conditions, quand je suis avec zhutkovatoy intelligibilité, il semblait que feigne folie». Ce qui rend cette horreur sur les habitants, ni nitssheanskoe bouffonnerie? Est-ce que j'ai oublié tous les bénéficiaires, celle de Nietzsche, toute sa vie, caché sous le masque, et non pas de savoir si il a triché en ce moment le monde entier? Il a su remonter. Même de la liberté, même de lui-même. «Une fois que vous avez ouvert moi, me trouver, ce n'est pas un miracle, la difficulté est maintenant de me perdre», - comme cela a été inattentif à ses paroles des gens.
l'homme qui chante et rit à haute voix - n'est-il pas postig coniunctio oppositorum il, n'est-il pas devenir une preuve vivante du principe de «tout en tous», - un défi à lui-même au Christ, au nom d'un «héritier de la mort de Dieu», n'est-ce pas, il est allé à la mesure où il n'y a plus de distinction entre Dionysos et le Crucifié? «Je suis - Dieu, a fait une caricature de lui-même», - peut-être que ces mots a commencé avec la naissance de Atsefala?

Nous - deux orage allumé le baril,
Deux flamme minuit bore;
Nous - deux dans la nuit de vol Meteora,
Un destin dvuzhalaya boom!

Nous - deux chevaux, qui tient le bit
One Hand - yazvit à stimuler;
Deux yeux que nous sommes les yeux
Les rêves de deux tremblant aile.

Nous - deux ombres deuil couple
Au-dessus de la tombe de marbre divin,
Où les anciens pochiet Beauté.

Uniform secrets diphtongue bouche
Eux-mêmes, nous - à la fois unique Sphinx.
Nous - les deux mains d'une seule croix.

Vyach. Ivanov

Sur l'identification de Jésus avec Dionysos a déclaré à des moments différents et ont remarqué, n'est pas suffisant. Dans cette figure, nous voyons Dionysos, pousse sur un arbre (rappelez-vous déjà parlé de la motivation de l'homme-arbre, s'est produit au début des dessins d'André Masson). Si vous regardez attentivement, vous remarquerez que c'est le dieu de la mélodie. Ce que l'on appelle TIRS de Dionysos, sous la forme de bâtons, uvitoy raisins et de lierre.



L'approche du point où convergent les contraires, où la racine de la vie cesse d'être à deux volets, Nietzsche a comparé le dieu suprême, Odin, qui prigvozdiv une lance dans le monde des arbres, a été la plus grande sagesse. Michel Foucault a écrit que la «expérience de la folie est le plus proche de la connaissance absolue», et, croyez-moi, il a été l'un des rares à saisir l'essence.


Série noire n°1 Maison de la culture Chalons/saone


«Je sais, je me suis accroché
dans les branches dans le vent
neuf longues nuits,
percé de lance,
sur un
à se sacrifier, le
dans un arbre
dont les racines sont hid
dans les profondeurs inconnues.
Nul ne se nourrit,
aucun poil moi
Je regarde la terre
J'ai soulevé les runes,
ils ont soulevé le mur --
et l'arbre s'est effondré ».

L'aîné Edda, Haut Discours


Georges Bataille est non seulement lui-même considéré comme la seule personne qui incarne l'idée de Nietzsche, mais s'étend également à une identification complète avec le philosophe allemand. Dans son livre le plus personnel «Expérience intérieure» Bataille écrit que la voie de leur expérience intérieure (et, dans la compréhension de l'auteur de cette expérience est l'expérience mystique) Nietzsche «a vlekomy seulement l'inspiration et l'indécision», avec lequel je ne peux pas être d'accord et pariruyu : «Nietzsche est allé vlekomy ultime objectif - de préparer l'humanité, dans ses propres mots, le moment suprême de la conscience de soi, ou d'un grand après-midi». Si Bataya homme comme nous l'avons déjà mentionné, sa «fragmentation», et a été tout aussi erronée ou incomplète, plus l'ensemble de l'incapacité de cesser d'être seulement un homme, un philosophe, les yeux à la réévaluation de toutes les valeurs a été rien de plus frustrant que «voir la personne et la dispersion raskromsannym», comme dit Zarathoustra, en comparant les gens qu'il a rencontrés partout dans le monde, avec des décombres et des pièces. Mais pour l'homme est un pont. Nietzsche, encore dans l'épave d'une vision pour l'avenir et en raison de son Zarathoustra s'adresse à ceux qui ne l'ont pas encore la stérilité, qui est toujours une partie du chaos et capable d'avoir une danseuse étoile - Superman. Lorsque Nietzsche a Lumières et des chances, Bataille зрел seulement une impasse. «Être un homme simple qui n'a pas d'autre possibilité - c'est ce qui est l'étouffement, c'est ce que la gravité domine l'ignorance, de sorte que la portée de tous», - entrer dans la nuit de l'ignorance, un seul conduit d'ecstasy, sans routes, ni objective, Bataille vient, cette personne «est conçu pour être lamblike samonakazaniem». Penseur tragédie a été qu'il ne pouvait pas voir au-delà d'une personne comme elle l'a fait Friedrich Nietzsche. La raison en est que le désespoir Bataya, après avoir passé un voyage au bord de la capacité humaine, il a limité les droits de toute évidence, lui laissant aucune chance de battre. Pas de «Expérience intérieure» raconte le désespoir. Bataille cite Nietzsche beaucoup de perspicacité et de même fait remarquer que le philosophe allemand «premier atteint l'abîme, et il est décédé à la victoire sur lui». Atsefal a été exécuté. Exécuté, car s'est entretenu avec le divin. Bataille est convaincu que cette expérience s'apparente à une punition. «Expérience intérieure» - tel est le cri de ceux qui ont perdu dans le dédale bezglavogo Dieu et entre en collision avec l'impossible. En lisant ce livre, vous ne pouvez pas sortir de l'idée que Bataille est un tour, - une expérience terrible, connu quelqu'un qui a connu l'impact XVI Arkan. Bataille a estimé qu'il était impossible d'atteindre le bord d'être seul, et tout au long de sa vie, il a tendance à la communauté. Nietzsche, en revanche, est connu comme un solitaire. Et chacun d'entre eux marchaient à la pointe, mais avec un autre postig: Bataille - le désespoir et douloureuse maladie, Nietzsche - que «le sommet et abîme - ont fusionné ensemble». Que dirais calme, elle a comploté avec Bata, a dit à Zarathoustra dans les «heures les plus tranquilles»? Les trois transformations serait dit-on, les décrivant comme des chameaux, toujours privés de ce que Lion's Game et de l'enfant? Jusqu'à l'heure calme et est restée Zarathustra chameaux, mais il a entrepris son voyage, il a dû descendre «rose que jamais», pour achever sa transformation. Pas de savoir si elle est devenue une Tishina parler de Bata, où «est de ne pas rire des rires, des larmes - pas de larmes avant»? Bataille trop pressés de se libérer de la puissance des mots, et de générer des discours sur l'autel du silence, de ne pas couper d'entendre ses chansons sur une heure tranquille. «La réponse tient en un moment de folie: pas exécutée tant que l'entendre?» - Question Bataille et se perd dans dedalovom création.

Zarathoustra dit, qui est un grand, loin royaume de l'homme, et elle va durer mille ans. Pas même Superman est le royaume, mais le royaume de Zarathoustra. Tout le monde connaît les «royaume millénaire du Christ», mais combien de fois vous pouvez voir que les mots de Nietzsche, dans l'attente de Superman (l'antéchrist), préparé pour le trône de Satan. Il n'ya rien de plus absurde que cette hypothèse. Zarathustra je savais que les gens vont le prendre pour Superman du diable: «Vous, cadres supérieurs, qui a répondu à mes yeux! Je doute que vous et mon secret rire: je suppose que vous appelez mon Superman - le diable! Il est étranger à votre âme de tous les grands que vous superman aurait été terrible dans sa bonté ... »Dans son ouvrage« Eon »Carl Gustav Jung, en faisant valoir sur le Christ comme l'incarnation de soi, fait observer que, en fait, le Christ est la moitié seulement archétype, le second semestre, il est manifeste dans l'Antéchrist. Poursuivant la ligne de différence entre la perfection et de l'exhaustivité, Jung a souligné que «l'image du Christ, est presque parfait, archétype signifie également la fin de l'année», et puisque le Christ, selon Valentina, née «sans une sorte d'ombre» et, plus tard, «mis de côté une ombre de lui-même », on peut parler de perfection, que la prise des deux côtés - du Christ et l'Antéchrist. Le concept de base de travaux «dit Zarathustra» besoin de prendre l'idée de l'éternel retour. N'est-il pas censé créateur et destructeur de Zarathustra, predveschaya Parish Superman, l'Antéchrist? Tout va se passer, mais où les vieux tableaux, d'écrire de nouveaux.

Zarathoustra est l'unité des contraires: «les plus hauts et plus bas niveau des forces de la nature humaine, la plus douce, plus légère et la plus terrible de l'immortel sécurité exécuter à partir d'une source unique». Le royaume de Christ, comme le royaume de Zarathustra durera mille ans, et ils ont tous deux dit: «Mon Royaume n'est pas de ce monde». Superman, l'Antéchrist a été de venir à Zarathustra, que l'unité est née. Non pas parce que Nietzsche, il a signé comme Dionysos ou de la Crucifixion, qui sait?

Quoi d'autre à dire sur les trois transformations de l'esprit, mais ce chameau est le Christ, le Lion - Zarathoustra, un enfant lui-même être un surhomme. Après le prédicateur a parlé des jeunes: «Malheur à rire», les enseignants, les gens viennent plus élevé, tout en reconnaissant le saint rire. À l'ancien tables est écrit: «le deuil mieux que le rire, parce que, quand le cœur est la tristesse, une personne est meilleure», «... Heureux les pleurs, mais il n'a pas rire »,« où le rire, il est l'impudence et la fornication ». Leur splits Zarathoustra, je jure de prédicateurs de l'humilité. Le rire a joué un rôle spécial à jouer dans le destin de George Bataya. Au cours de sa jeunesse, il a fui les difficultés de la vie dans une foi religieuse, et après avoir servi dans l'armée, allant même à entrer au séminaire, mais plus tard, il était destiné à changer les plans - Bataille de Paris École inscrits dans la charte. Après avoir obtenu son diplôme, il a commencé à servir à la Bibliothèque nationale, consacrée à ses 20 années de sa vie. Introduction à Henri Bergson et de son livre «Le rire» a causé le départ de Georges Bataya du christianisme avec son culte de la souffrance et de l'humilité. «Dans l'Evangile, nul ne rit», - écrit-Bataille, de rire au départ de la gravité de l'ancienne novice.

Le dernier péché Zarathustra a compassion. Sin Atsefala un sacrifice que «la folie, désaveu de toute connaissance, la chute dans le vide». Mais un pont, et construit un labyrinthe. Last Labyrinth, est sur le pont menant à Superman - à partir de la tombée de la nuit éternelle de la grande demi-journée est-il, en proclamant: «L'homme est ce que j'ai dépassé».

Sources utilisées:

SN Zenkin «Construction de vide: le mythe de Atsefale»;
S. Fokin''philosophe-dehors-de-lui-même. Georges Bataille'';
«Lettres de Friedrich Nietzsche». état. Igor Ebanoidze;
Delia Steinberg Guzman «Labyrinth»;
Michelle Syuria «Georges Bataille, l'emploi ou la mort»;
Viatcheslav Ivanov, «Nietzsche et Dionysos»;
F. Nietzsche «matin»;
F. Nietzsche «Ecce Homo»;
F. Nietzsche «dit Zarathustra»;
G. Bataille «Expérience intérieure» (fragments);
KG Jung «Memories, Dreams, Reflections»;
CG Jung «Eon»;